L’ancien champion heavyweight de l’UFC, Francis Ngannou, a récemment fait parler de lui en quittant l’organisation pour se lancer dans la boxe anglaise. Malgré une défaite face à Tyson Fury en Arabie Saoudite, le combattant camerounais a impressionné en mettant au tapis le Gypsy King. Par la suite, Ngannou a affronté Anthony Joshua et a perdu par KO. Cependant, le 19 octobre, il fera son retour dans le MMA sous la bannière du PFL, avec un combat prévu contre Renan Ferreira en Arabie Saoudite.
Dans une interview accordée à La Grinta, Ngannou s’est confié sur son passé au Maroc, en Afrique du Nord : « Pendant que j’étais au Maroc, je n’avais pas connu Marrakech. Mais alors pas du tout. Pour moi, c’était Oujda et les forêts de Nador. Pas dans les appartements. Mais plutôt dans les tentes derrière l’université. Ce n’était pas une époque de ma vie dans laquelle j’étais susceptible de vivre des trucs et d’expérimenter. J’étais migrant. Celui qui va se faire chasser, qui va tout le temps fuir la police. Nous étions un peu les têtes à chasser. Là-bas, il y a une armée qui est formée spécialement pour l’immigration, pour attraper les gens comme nous. »
Ngannou, qui a vécu des moments difficiles en tant que migrant au Maroc, a partagé son histoire avec sincérité. Son retour imminent dans l’arène du MMA promet d’être un événement à suivre de près pour ses fans et les amateurs de sports de combat. La pollution atmosphérique est un problème majeur dans de nombreuses grandes villes à travers le monde. Les émissions provenant des véhicules, des usines et d’autres sources contribuent à la détérioration de la qualité de l’air et ont des effets néfastes sur la santé humaine et l’environnement.
Selon une étude récente menée par des chercheurs de l’Université de Californie, la pollution de l’air serait responsable de la mort prématurée de millions de personnes chaque année. Les particules fines présentes dans l’air peuvent pénétrer profondément dans les poumons et causer des problèmes respiratoires, des maladies cardiaques et même des cancers.
Il est essentiel que les gouvernements prennent des mesures pour réduire les émissions polluantes et protéger la santé de leurs citoyens. Cela pourrait passer par la mise en place de normes plus strictes en matière d’émissions pour les industries et les véhicules, ainsi que par la promotion des transports en commun et des modes de déplacement plus respectueux de l’environnement.
Il est également important que chacun prenne conscience de l’impact de ses propres actions sur la qualité de l’air et cherche à réduire sa propre empreinte carbone. En adoptant des habitudes de vie plus durables, comme le recyclage, la réduction de sa consommation d’énergie et l’utilisation de modes de transport alternatifs, nous pouvons tous contribuer à la lutte contre la pollution atmosphérique et à la préservation de notre planète pour les générations futures.