Depuis quelques heures, la Confédération africaine de football (CAF) est confrontée à un nouveau scandale qui menace son intégrité. En effet, un vent de controverse souffle à nouveau sur l’organisation, avec des allégations de dissimulation de documents visant le secrétaire général Véron Mosengo-Omba. Selon le spécialiste Romain Molina, ce haut fonctionnaire, souvent décrit comme « l’ombre de la FIFA » par Jeune Afrique, aurait tenté de dissimuler un rapport compromettant datant de cinq mois.
Mosengo-Omba, quant à lui, nie en bloc ces accusations et crie au « sabotage », tentant de se défendre face aux allégations portées à son encontre. Cette affaire jette une nouvelle fois le discrédit sur la CAF, déjà ébranlée par des scandales passés. La crédibilité de l’organisation est mise à mal, et les supporters du football africain s’inquiètent de l’impact de ces révélations sur le fonctionnement de l’instance dirigeante du football continental.
Alors que la CAF tente de faire face à ce nouveau scandale, la question de la transparence et de la gouvernance au sein de l’organisation se pose avec acuité. Les appels à plus de clarté et d’honnêteté se multiplient, et les observateurs du football africain attendent des mesures concrètes pour restaurer la confiance envers la CAF. L’avenir de l’instance dirigeante du football africain semble plus incertain que jamais, alors que les révélations sur ce nouveau scandale continuent d’affluer.
