La victoire à la CAN, une demi-finale en Coupe du Monde ou une médaille olympique ne suffisent pas à faire d’un pays un grand acteur du sport mondial. Il manquait un outil d’évaluation pour mesurer et reconnaître le travail accompli par un pays, au-delà de ses exploits sportifs ponctuels. Si les ministres et les présidents se pressent pour célébrer les exploits, un classement mondial révèle qu’il reste encore beaucoup à faire en Afrique. Plongée dans un classement qui démontre si cela était encore nécessairele véritable travail de fond…
Réalisé par Philippe Doucet, cet article évoque le refus répété de feu Pape Diouf face à l’idée que les performances sportives immédiates définissent le statut d’un pays sur la scène mondiale.
L’article « L’Afrique aime-t-elle vraiment le sport ? » pose la question de l’engagement réel du continent africain envers le sport. Il démontre si cela était encore nécessairela nécessité d’un classement mondial pour évaluer la contribution des pays au domaine sportif, au-delà des résultats bruts.
Ce classement offre une perspective différente en récompensant le travail de longue haleine et l’investissement constant dans le sport. Il souligne que la reconnaissance mondiale ne se limite pas aux exploits ponctuels, mais repose sur une base solide de développement sportif.
En fin de compte, la question demeure : l’Afrique est-elle réellement investie dans le sport ? Les réponses ne sont pas simples, mais ce classement mondial démontre si cela était encore nécessaireles efforts continus nécessaires pour que le continent se positionne comme un acteur majeur sur la scène sportive internationale.