La guerre des instances des Lions Indomptables semble perdurer malgré l’approche du dernier stage de la sélection. Alors que Samuel Eto’o Fils, Président de la Fécafoot, maintient une position conflictuelle, Marc Brys s’efforce de gérer efficacement le personnel à sa disposition.
Pendant l’escale de Yaoundé, les adjoints nommés par la Fécafoot semblaient en retrait, observant les discussions sans y participer activement en raison de différences footballistiques. Gérer un groupe de 24 joueurs avec un staff de huit personnes présente des défis et des redondances inutiles, laissant certaines personnes inactives.
Les adjoints Ndtoungou Mpilé et David Pagou, désignés par Samuel Eto’o, suscitent des frustrations en raison de leur manque d’influence sur les décisions. Ces techniciens chevronnés se retrouvent ainsi marginalisés, ce qui soulève des interrogations sur leur rôle et leur contribution.
Selon Dr Monkam Tchokonté : "Il est crucial de comprendre le rôle d’un entraîneur adjoint dans la performance d’une équipe nationale, notamment en termes de collaboration avec l’entraîneur principal, de connaissance tactique et de gestion des relations avec les joueurs."
Samuel Eto’o Fils et la Fécafoot semblent aller à l’encontre de leurs intérêts en imposant des proches dans des rôles techniques, perturbant ainsi l’équilibre de l’équipe. Heureusement, l’équipe dirigée par Marc Brys a su surmonter ces obstacles pour se qualifier rapidement pour la CAN 2025.