Au cœur des discussions politiques et médiatiques aux États-Unis, une rumeur persistante a récemment secoué les esprits : Elon Musk envisagerait de quitter son poste au sein du bureau de l’efficacité gouvernementale. Cette information, initialement relayée par le journal Politico, a rapidement enflammé les réseaux sociaux et les milieux politiques avant d’être formellement démentie par la Maison-Blanche et l’intéressé lui-même.
Selon les informations de Politico, Donald Trump aurait informé certains membres de son cabinet que Elon Musk se préparait à quitter ses fonctions, qu’il occupe depuis sa nomination par l’ancien président américain à la tête du département de l’efficacité gouvernementale. Ce rôle vise à améliorer les processus administratifs et technologiques de l’État fédéral tout en réalisant des économies importantes.
Dans un contexte où chacun des faits et gestes de Musk est scruté avec attention, l’annonce de son éventuel départ a rapidement suscité des interrogations et des spéculations sur les raisons qui pourraient motiver cette décision. Confrontée à la propagation rapide de cette information, Karoline Leavitt, porte-parole de la Maison-Blanche, a réagi sans détour sur le réseau social X (anciennement Twitter) en remettant en question la crédibilité de Politico et en dénonçant ce qu’elle considère comme une rumeur infondée.
Elon Musk, habitué à ne pas laisser les rumeurs sans réponse, a également pris la parole pour dénoncer une « fake news » sur ses propres plateformes sociales. Bien que sa déclaration ait été concise, elle a suffi à apaiser l’effervescence médiatique. Il n’est pas rare que le PDG de Tesla et SpaceX soit au cœur de rumeurs politiques, en raison de son influence croissante dans les sphères du pouvoir et de ses prises de position sur des sujets sensibles tels que l’intelligence artificielle, la liberté d’expression et la politique étrangère. Cette position de leader en fait une figure incontournable, mais également une cible privilégiée des spéculations.