Alors que le différend entre le RS Berkane et l’USM Alger reste en suspens, la Confédération africaine de football (CAF) a pris la parole à ce sujet à travers son secrétaire général, Veron Mosengo-Omba. Depuis que les deux parties ont déposé leurs dossiers respectifs le 3 juin dernier devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), la tension est palpable. D’un côté, la RS Berkane et la Fédération marocaine (FRMF) font face à l’USM Alger et à la Fédération algérienne (FAF) de l’autre. Tout le monde attend avec impatience le verdict, retenu dans l’attente à droite comme à gauche…
La polémique autour de l’affaire Berkane-USM Alger a poussé la CAF à sortir du silence et à prendre position. Veron Mosengo-Omba, secrétaire général de l’organisation, s’est exprimé sur le sujet, mettant en lumière l’importance de résoudre ce différend de manière équitable. Depuis que les dossiers ont été soumis au TAS en juin dernier, l’attente du verdict est devenue insoutenable pour les deux camps en conflit. La RS Berkane et la FRMF d’un côté, et l’USM Alger et la FAF de l’autre, retiennent leur souffle en attendant une décision qui pourrait avoir des répercussions majeures sur le football africain.
La situation entre le RS Berkane et l’USM Alger continue de susciter l’intérêt et l’inquiétude au sein de la communauté du football africain. Les déclarations de Veron Mosengo-Omba, secrétaire général de la CAF, ont mis en lumière l’importance de résoudre ce différend de manière transparente et équitable. Depuis que les dossiers ont été présentés devant le TAS en juin, l’incertitude règne et chacun attend avec anxiété le dénouement de cette affaire. Tous les regards sont tournés vers le tribunal arbitral, dans l’attente d’une décision qui pourrait avoir un impact significatif sur le paysage du football en Afrique.