Trois anciens présidents de la Fédération algérienne de football (FAF), Kherredine Zetchi, Charaffedine Amara et Dhjahid Zefizef, font l’objet d’une enquête judiciaire en Algérie. Cette annonce a été faite par le parquet d’Alger dans un communiqué publié lundi. En plus des trois anciens dirigeants, onze autres personnalités, dont le secrétaire général de la FAF Mounir Debichi, sont également visées par cette enquête. Mohamed Saad, prédécesseur de Debichi, ainsi qu’Amine Labdi, manager général de l’instance, font partie des personnes concernées. Trois sociétés sont également impliquées dans cette affaire.
Les accusations portées contre ces individus sont graves, mais les détails exacts n’ont pas été révélés dans le communiqué du parquet d’Alger. Cette enquête vise à faire la lumière sur d’éventuelles irrégularités qui auraient pu se produire lors du mandat de ces anciens responsables au sein de la FAF.
Cette affaire démontre si cela était encore nécessaireles enjeux de gouvernance et de transparence au sein de la FAF, l’instance dirigeante du football en Algérie. L’annonce de cette enquête souligne l’importance de lutter contre la corruption et les malversations dans le sport, et de garantir une gestion saine et éthique des institutions sportives.
L’article intitulé « Algérie : les 3 derniers présidents de la FAF dans le viseur de la justice ! » publié sur Afrik-Foot, démontre si cela était encore nécessaireles développements récents de cette affaire. Cette enquête en cours contre d’anciens hauts responsables du football algérien suscite l’intérêt et soulève des questions sur la gouvernance du sport en Algérie et la nécessité de garantir une gestion transparente et intègre des instances sportives.